- EAN13
- 9782702162194
- Éditeur
- Calmann-Lévy
- Date de publication
- 06/02/2019
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Calmann-Lévy 18,90
Pont-Aven a séduit les artistes bien avant que Gauguin y vienne. Dès 1866, une
petite colonie de peintres américains s’y établit. Tout les enchante : la
lumière incomparable de la Bretagne, lespaysages et les moulins pittoresques,
les sentiers du Bois d’Amour, le soleil sur la rivière, le spectacle du port
animé par les bateaux
de pêche et, bien sûr, le magnifique costume des femmes. Ils dessinent, ils
peignent, se font adopter par la population.
Parmi eux, on remarque Mary Ann Flynn, une jeune Américaine adepte du fusain.
Bientôt, elle est rejointe par sa cousine anglaise, Victoria Greylord, qui
préfère l’aquarelle. Ensemble, elles achètent un terrain au bord de la rivière
et s’y font construire une maison qui accueillera leurs amis peintres, plus ou
moins argentés.
Ravissantes et libres, les deux jeunes femmes mettent en émoi plus d’un homme,
artiste, aristocrate ou pêcheur. Mais l’une et l’autre cachent une blessure.
Auraient-elles choisi l’art contre l’amour ?
À travers la peinture d’une amitié sans faille entre deux femmes à l’esprit
libre, Colette Vlérick fait revivre une page colorée mais souvent oubliée de
la longue histoire entre Pont-Aven et les artistes.
petite colonie de peintres américains s’y établit. Tout les enchante : la
lumière incomparable de la Bretagne, lespaysages et les moulins pittoresques,
les sentiers du Bois d’Amour, le soleil sur la rivière, le spectacle du port
animé par les bateaux
de pêche et, bien sûr, le magnifique costume des femmes. Ils dessinent, ils
peignent, se font adopter par la population.
Parmi eux, on remarque Mary Ann Flynn, une jeune Américaine adepte du fusain.
Bientôt, elle est rejointe par sa cousine anglaise, Victoria Greylord, qui
préfère l’aquarelle. Ensemble, elles achètent un terrain au bord de la rivière
et s’y font construire une maison qui accueillera leurs amis peintres, plus ou
moins argentés.
Ravissantes et libres, les deux jeunes femmes mettent en émoi plus d’un homme,
artiste, aristocrate ou pêcheur. Mais l’une et l’autre cachent une blessure.
Auraient-elles choisi l’art contre l’amour ?
À travers la peinture d’une amitié sans faille entre deux femmes à l’esprit
libre, Colette Vlérick fait revivre une page colorée mais souvent oubliée de
la longue histoire entre Pont-Aven et les artistes.
S'identifier pour envoyer des commentaires.