- EAN13
- 9782204155496
- Éditeur
- Cerf
- Date de publication
- 04/04/2024
- Collection
- THEOLOGIE HORS COLLECTION
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Cerf 22,00
Le jansénisme se confond-il avec la théologie augustinienne de la grâce, que
l’Église catholique aurait condamnée sans se l’avouer ? N’est-il qu’un nom
désignant des doctrines diverses et sans unité ? Est-il principalement
politique, le dogme étant une question accessoire, voire un prétexte ? Est-il
insaisissable hors des propositions qui ont servi à le condamner ? À rebours
des thèses qui ont contesté la légitimité ou la pertinence d’une étude
théologique du jansénisme, Simon Icard présente une doctrine spécifique,
fondamentale et continue défendue par Jansénius et ses disciples, comme
Pascal. En étudiant leur conception de l’attribution des mérites avant et
après le péché originel, il met au jour les difficultés du catholicisme
moderne à penser une oeuvre commune à Dieu et à l’homme qui soit à la fois
totalement divine et totalement humaine. Chercheur en histoire de la théologie
au CNRS, Simon Icard est membre du Laboratoire d’études sur les monothéismes.
Il a récemment publié, aux Éditions du Cerf, L’Apocalypse janséniste. Port-
Royal et la défense de la vérité.
l’Église catholique aurait condamnée sans se l’avouer ? N’est-il qu’un nom
désignant des doctrines diverses et sans unité ? Est-il principalement
politique, le dogme étant une question accessoire, voire un prétexte ? Est-il
insaisissable hors des propositions qui ont servi à le condamner ? À rebours
des thèses qui ont contesté la légitimité ou la pertinence d’une étude
théologique du jansénisme, Simon Icard présente une doctrine spécifique,
fondamentale et continue défendue par Jansénius et ses disciples, comme
Pascal. En étudiant leur conception de l’attribution des mérites avant et
après le péché originel, il met au jour les difficultés du catholicisme
moderne à penser une oeuvre commune à Dieu et à l’homme qui soit à la fois
totalement divine et totalement humaine. Chercheur en histoire de la théologie
au CNRS, Simon Icard est membre du Laboratoire d’études sur les monothéismes.
Il a récemment publié, aux Éditions du Cerf, L’Apocalypse janséniste. Port-
Royal et la défense de la vérité.
S'identifier pour envoyer des commentaires.