L'imaginaire prend le pouvoir !
Préparez-vous ! Le mois d'octobre arrive et il sera... imaginaire ! Fantasy, science-fiction ou fantastique... dans notre librairie bien réelle, il y a forcément un livre qui vous fera vous envoler vers les plus haut sommets de votre imagination !
Clark Ashton Smith, intégrale
Integrale clark ashton smith -
3
De Clark Ashton Smith
Les Editions Mnémos
Avec ce nouveau cycle, Clark Ashton Smith met en scène une Auvergne médiévale fantasmée, comme seul cet auteur pouvait le faire. Il nous emporte dans une contrée mystérieuse où monastères et cités aux murs crénelés ont émergé des antiques ruines romaines, où des légendes préchrétiennes s’incarnent dans la vaste forêt centrale, où l’ impressionnante cathédrale de la cité de Vyones domine les esprits et où, surtout, une très ancienne famille aristocratique voit ses pouvoirs disparaître, entre corruption et magie noire.
Une nouvelle fois, Clark Ashton Smith, par son style unique, baroque et chatoyant, a forgé les lettres de noblesse de la fantasy.
Ce volume est complété par Autres mondes, l’ensemble des textes de fantasy de l’écrivain qui ne sont pas liés aux cycles précédemment publiés dans les deux premiers opus de l’intégrale fantasy de Clark Ashton Smith.
Clark Ashton Smith (1893-1961) connaît une existence marquée par la maladie et l’art. Avec ses amis H. P. Lovecraft et Robert Howard, il inventa une bonne part de la fantasy américaine. À la fois poète, amoureux fou des écrivains décadents du XIXe siècle et styliste hors pair, Clark Ashton Smith engendra une œuvre littéraire unique, d’une rare beauté, hantée par un imaginaire exotique mais aussi sombre et ironique, baignée par la magie des mots et des images.
Ils sont quatre. Quatre États du Sud des États-Unis à ne pas avoir aboli l'esclavage et à vivre sur l'exploitation abjecte de la détresse humaine. Mais au Nord, l'Underground Airlines permet aux esclaves évadés de rejoindre le Canada. Du moins s'ils parviennent à échapper aux chasseurs d'âmes, comme Victor. Ancien esclave contraint de travailler pour les U.S. Marshals, il va de ville en ville, pour traquer ses frères et soeurs en fuite. Le cas de Jackdaw n'était qu'une affaire de plus... mais elle va mettre au jour un terrible secret que le gouvernement tente à tout prix de protéger.
Un roman d'une brûlante actualité qui explore sous le faisceau de l'uchronie une Amérique bien trop familière...
Qui est cette drôlesse qui débarque un beau jour dans le bureau de Marc-Aurèle Abdaloff et lui demande de localiser une fille, sans autre indice qu'"un sourire malicieux"? Retrouver les gens, c'est sa spécialité, mais là, c'est un peu maigre. Et il n'est pas au bout de ses surprises : la péronnelle en fuite semble avoir le double talent de se promener dans le temps et de foutre le bordel partout où elle passe.
Sauf qu'à trop fouiller dans les arcanes du passé et de la féerie, on finit par mettre le doigt sur une conspiration qui dépasse de loin les compétences d'un détective privé... et même celles d'une fée !
Trois chemins permettent de gagner Castle View depuis la ville de Castle Rock : la Route 117, Pleasant Road et les Marches des suicidés. Comme tous les jours de cet été 1974, la jeune Gwendy Peterson a choisi les marches maintenues par des barres de fer solides qui font en zigzag l’ascension du flanc de la falaise. Lorsqu’elle arrive au sommet, un inconnu affublé d’un petit chapeau noir l’interpelle puis lui offre un drôle de cadeau : une boîte munie de deux manettes et sur laquelle sont disposés huit boutons de différentes couleurs.
La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n'a-t-il pas sa contrepartie ?
J’adore cette histoire. J. J. Abrams.
Une nouvelle captivante par le grand maître de l’horreur. Publishers Weekly.
Édition illustrée dont 4 illustrations inédites.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Michel Pagel.
Décembre 1888.
Alors que le bon peuple de Paris s’interroge sur cette tour que l’impérieux Gustave Eiffel fait édifier à grands frais, d’étranges rumeurs circulent dans les faubourgs de la capitale : les morts parlent !
Interpellé par la presse à ce sujet, le préfet de police Henry Lozé tourne en ridicule « les plaisanteries de quelques coquins ». Ainsi parle-t-il devant le beau monde, sous les feux électriques du parvis de l’Opéra Garnier. Mais, depuis l’ombre de ses cabinets, l’homme lance sur cette affaire les plus fins limiers de la République.
Pendant ce temps, l’Académie des sciences en appelle à ses éminents savants pour que la pensée rationnelle, une fois pour toutes, triomphe des ténèbres de l’obscurantisme.