- EAN13
- 9782336435039
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 14/03/2024
- Collection
- Études Psychanalytiques
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Freud et la question "Qu'est-ce que la vie ?"
Incidences clandestines du vitalisme dans l’épistémologie freudienne
Felipe Henríquez Ruz
L'Harmattan
Études Psychanalytiques
Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 26,00
Depuis plusieurs années, les débats sur la formation intellectuelle de Freud
et sur les sources d’inspiration de son épistémologie semblent être « clos ».
Les biographies intellectuelles (Wittels, Bernfeld, Jones) et les ouvrages sur
les fondements historiques de la psychanalyse (Dorer, Assoun) ont contribué à
forger une image plutôt monolithique de Freud comme un « matérialiste
mécaniste » dans ses origines, ainsi qu’une représentation de la psychanalyse
comme une « science de la nature ».
À contre-courant, cet ouvrage essaie de rouvrir ces débats et de montrer,
partout dans l’œuvre de Freud, l’influence clandestine du vitalisme, doctrine
opposée au mécanisme qui a su mettre paradoxalement la mort au sein de
l’entendement du vivant.
En replaçant la question « Qu’est-ce que la vie ? » au cœur de l’épistémologie
freudienne, l’auteur fait ainsi apparaître l’image controversée de Freud comme
un « philosophe de la biologie » et une représentation de la vie, chez lui,
comme une polarité essentielle entre la création et la destruction.
et sur les sources d’inspiration de son épistémologie semblent être « clos ».
Les biographies intellectuelles (Wittels, Bernfeld, Jones) et les ouvrages sur
les fondements historiques de la psychanalyse (Dorer, Assoun) ont contribué à
forger une image plutôt monolithique de Freud comme un « matérialiste
mécaniste » dans ses origines, ainsi qu’une représentation de la psychanalyse
comme une « science de la nature ».
À contre-courant, cet ouvrage essaie de rouvrir ces débats et de montrer,
partout dans l’œuvre de Freud, l’influence clandestine du vitalisme, doctrine
opposée au mécanisme qui a su mettre paradoxalement la mort au sein de
l’entendement du vivant.
En replaçant la question « Qu’est-ce que la vie ? » au cœur de l’épistémologie
freudienne, l’auteur fait ainsi apparaître l’image controversée de Freud comme
un « philosophe de la biologie » et une représentation de la vie, chez lui,
comme une polarité essentielle entre la création et la destruction.
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